L’autrice, professeure de français, s’intéresse à un procès hors-norme (plus de cinquante hommes sur le banc des accusés) et hyper-médiatisé sous un angle très particulier : celui du langage. Les mots utilisés lors du procès Mazan ont un sens, et souvent un sens plus important que celui qu’on leur donne.
À travers cette analyse brillante du discours, Mathilde Levesque “met en lumière notre difficulté collective à nommer et donc reconnaître les violences sexistes et sexuelles”. Passionnant.
Alice